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17Juillet 2022. #1. Bonjour à toute, Je suis maman d'une petite fille hyperactive de 2 ans et trois mois et enceinte de 7 mois, pour l'instant j'ai pu continuer l'allaitement malgré des périodes trÚs difficiles, mes seins sont souvent trÚs douloureux et dans le meilleur des cas hypersensibles, elle a des habitudes de réconfort de mettre
UneidĂ©e qui semble impensable pour certains, mais qui ne lâest pas tellement pour dâautres. Une maman raconte pourquoi elle ne supporte pas sa fille et Ă©vite de passer du temps
Vay Tiá»n Nhanh Chá» Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. Bonjour Mon fils de 9 ans vis chez sa mĂšre, d'origine chinoise, qui a fait venir, dans son appartement, ses parents les grands parents de mon fils. Mon fils me raconte que le grand pere se dispute avec la grand mĂšre trĂšs souvent, que sa mĂšre se dispute avec son conjoint tout aussi frequemment, que sa mĂšre se dispute avec sa grand mĂšre aussi, et qu'il n'en peut plus des cris, d'autant plus qu'on lui demande souvent de faire l'interprĂšte entre les grands parents et le conjoint de sa mere. avant cette situation, qui date de deux mois, je me suis battu autant que je pouvais, pour faire valoir mon droit a ĂȘtre le pĂšre de mon fils. Sa mĂšre disait Ă mon fils d'appeler E le conjoint Papa », sinon, il va ĂȘtre triste ». je ne supporte pas cette idĂ©e que ma paternitĂ© me soit volĂ©e. j'ai finalement eu gain de cause aprĂšs plus d'un an de tentatives infructueuses. Mon fils m'a demandĂ© depuis, il y a deux mois, donc, quand Ă©taient mes jours de malheur. Comme je lui ai demandĂ© ce quâil voulait dire, il mâa expliquĂ© quâil pleurait le lundi, le mardi, le jeudi, le vendredi, sauf le mercredi parce quâil y a des films drĂŽle Ă la tĂ©lĂ© ». Jâai compris quâil pleurait seul dans sa chambre et que personne ne venait le consoler. Heureusement, il mâa dit quâil rigolait avec moi, et quâil ne pleurait pas quand il Ă©tait chez moi seulement la moitiĂ© des vacances, Ă ma grande dĂ©ception, car ce serait infaisable de le prendre un week-end sur deux, mon ex femme ayant quittĂ© la bourgogne ou nous habitions, oĂč jâhabite toujours, pour aller habiter Ă Paris. jâai fait Ă©tat dâune façon trĂšs virulente de ce problĂšme auprĂšs de sa mĂšre, qui ne sâĂ©tait rendue compte de rien, et qui, tout Ă coup, a acceptĂ© de se remettre en question sur ce point. Mon fils, venant pour les vacances de fĂ©vrier, me dit que la situation sâest un peu amĂ©liorĂ©e on vient le consoler quand il pleure !, me dit que tout le monde sâengueule Ă la maison. Je lui ai donnĂ© le conseil de ne plus traduire, et aussi, quand il y aurait un moment de paix, de venir tout Ă coup en criant vers les adultes, et quand on lui demanderait pourquoi, de rĂ©pondre ah, vous non plus, vous aimez pas ça, quand on crie ? Moi, je fais comme vous, câest tout ». et jâai Ă©crit Ă sa mĂšre pour lui expliquer que je venais de lui dire cela, afin que mon fils, sâil osait faire comme ça, ne soit pas seul Ă porter la responsabilitĂ© de ce propos, et quâon voie bien que je ne cherche pas lâutiliser comme un outil en me cachant derriĂšre lui. Pas de rĂ©ponse Ă ce message ce qui me gĂšne le plus, câest cette nouvelle situation, que mon fils vient seulement de mâapprendre cet aprĂšs midi. Lâappartement nâest pas grand, alors, le grand pĂšre dort sur un canapĂ© dans le salon, et la grand mĂšre dort avec mon fils, dans son lit Ă lui ! Or, connaissant bien les grands parents pour le avoir vu dĂ©barquer chez moi pendant des mois, une des causes principales du divorces et parce que mon fils me lâa dit, leur venue en France va durer au moins deux ans. et ils ont Ă©lu dĂ©finitivement domicile dans lâappartement de leur fille. Jâai prĂ©venu mon fils que si jâavais la possibilitĂ© dâagir, je le ferais, et il le comprend trĂšs bien, il y est mĂȘme favorable. Il aime ses grands parents, câest bien normal, et mĂȘme sâil mâobjecte que ben oui, mais moi, je suis habituĂ© », ce que je comprends aussi comme ben oui, mais je peux pas dire non parce que câest ce qui se fait chez moi »je lui ai dit que ce nâĂ©tait pas du tout normal, et je sais quâĂ moins dâune situation hors norme et de courte durĂ©e, ce nâest pas du tout une bonne chose, psychologiquement, que mon fils dorme avec sa grand mĂšre, dâautant plus que pendant des annĂ©es, avant, il a dormi avec sa mĂšre, dans le mĂȘme lit. Jâai dit Ă mon ex femme que câĂ©tait inadmissible, pas non plus de rĂ©ponse. Je pense quâil y a maltraitance. Je voudrais rĂ©agir. Auriez-vous la gentillesse de me dire si jâai des options pour ça, et lesquelles ? contacter le juge aux affaire familiales pour obtenir une enquĂšte ? Câest ce que jâai lu, sur cette page, qui mâavait lâair le plus pertinent, mais ma question est est ce que ma dĂ©marche aura vraiment une chance dâaboutir ? et Ă quoi ? » Merci de votre rĂ©ponse Luc
Ah les douloureuses angoisses de la sĂ©paration » ! Nous les connaissons bien, car avec 3 enfants nous en avons vu un paquet et continuons dâen voir Les sĂ©parations pour la crĂšche Lou y a Ă©tĂ© de ses 2 mois jusquâĂ ses 18 moisLes sĂ©parations pour la nounou LĂ©o y a Ă©tĂ© jusquâĂ ses 3 ans et demi, Lou et Lili y sont actuellementLes sĂ©parations pour lâĂ©cole Qui se sont pour le coup extrĂȘmement bien passĂ©s pour LĂ©o⊠il avait tellement hĂąte dây aller ! Les sĂ©parations pour retourner chez lâautre parent » LĂ©o vit chez sa maman Ă Paris la majoritĂ© de son temps, et chez nous pour de nombreux week-ends et les vacances.Je ne sais pas pour vous mais en ce qui me concerne, jâai souvent ressenti et ressent encore, dans ces moments lĂ , le sentiment affreux de ne pas savoir quoi faire ni quoi dire ». Je me sens dĂ©muni devant la tristesse, le chagrin ou la colĂšre de mes enfants quand vient lâheure de me sĂ©parer dâ pleurait souvent lorsque nous le laissions chez sa nourrice⊠et, depuis ses 2 ans et demi, il a de gros chagrins au moment de se sĂ©parer dâun parent dâune famille pour aller chez lâ pendant une pĂ©riode, nous faisait aussi de grosses colĂšres le matin lorsque nous la laissions Ă la crĂšche dans notre ancienne vie ». Les mĂȘmes colĂšres dâailleurs quâelle nous a fait chez sa nourrice de transition » pendant nos quelques mois Bordelais ».Lili elle nâa que 7 mois, pourtant sa pĂ©riode de la crise dâangoisse » approche Ă grand pas gĂ©nĂ©ralement autour de 8 mois elle va bientĂŽt rĂ©aliser quâelle est distincte » de sa maman sa figure dâattachement principale et angoisser lorsque celle-ci pleurent-ils quand on les quitte ?Un petit article, issu du cahier de formation des assistantes maternelles Françaises que la nourrice de Lou et Lili a eu la gentillesse de nous prĂȘter traite de ce sujet il sâintitule Pourquoi pleurent-ils quand on les quitte ? » et a Ă©tĂ© Ă©crit par Anne Castineau et Chantale de auteurs commencent par y expliquer que Les enfants sont comme nous avant de voir ce qui commence, ils regrettent dĂ©jĂ ce qui sâachĂšve ».Selon elles, la tristesse des enfants ne provient pas forcĂ©ment du fait de nous quitter, mais plutĂŽt du fait de quitter un situation plaisante ĂȘtre avec nous - pour une autre⊠dont ils ne savent pas encore si elle sera expĂ©rience avec Lou qui a bientĂŽt 3 ans donne du sens Ă cette explication elle nâa plus aucun signe dâapprĂ©hension ou de tristesse le matin, depuis que nous lâemmenons chez sa nouvelle nounou ». SĂ»rement parce quâelle sait quâelle va passer une trĂšs bonne journĂ©e ce qui nâĂ©tait pas forcĂ©ment le cas avec sa nourrice les auteurs, il est normal que cette tristesse au moment de la sĂ©paration puisse se transformer en colĂšre car Ce quâil perd en se sĂ©parant de nous, mĂȘme pour un court instant, câest un sentiment de toute puissance sur ses parents. Il se sent dĂ©possĂ©dĂ©. Et pour cause ! Sâil tient tant Ă nous avoir sous la main, câest quâil nâimagine pas quâon puisse lâaimer⊠de loin ». ⊠Françoise Dolto disait âun enfant doit sâenraciner dans ses parentsâ. Autrement dit, se convaincre de la permanence de leur amour, mĂȘme quand ils sont absents. Sâils sont nĂ©s pour le dĂ©couvrir, les petits ne se laissent pas convaincre en une seule fois ».TrĂšs franchement, nous nâavions pas conscience de ce sentiment de toute puissance que les enfants ont sur leur parents⊠ça explique bien des choses ! mais câest un au autre dĂ©bat ;-Dans ce passage en tout cas, les auteurs nous font rĂ©aliser quâil faut prendre en compte les facteurs temps et stade dâĂ©volution psycho-affectif de lâenfant les crises » dâangoisses commencent vers 8 mois et sâattĂ©nue avec le temps et la rĂ©pĂ©tition. A un certain stade de maturitĂ©, lâenfant doit certainement se dire depuis tout ce temps, papa et maman sont toujours lĂ le soir pour venir me chercher aprĂšs la nounou/lâĂ©cole⊠câest quâils doivent vraiment mâaimer. Je nâai plus besoin dâĂȘtre triste ou inquiet quand on se sĂ©pare ». Jâai dâailleurs dĂ©couvert rĂ©cemment que câest gĂ©nĂ©ralement entre 5 et 6 ans que lâenfant est prĂȘt Ă se sĂ©parer de ses parents pour quelques jours en vacances chez ses grands parents ou en auteurs poursuivent Tout ce que nous savons que nous les retrouverons bientĂŽt, que les personnes Ă qui nous les confions sauront leur apporter tendresse et attention, eux ne le savent pas. Câest pourquoi nos mots, nos explications, mĂȘme sâils restent sans effet sur le moment, seront pour plus tard des munitions », des rĂ©serves pour comprendre les avantages de la situation. Il se peut que, jour aprĂšs jour, ils attendent quâon leur rĂ©pĂšte les mĂȘme mots, comme ils aiment quâon leur relise la mĂȘme histoire, quitte Ă pleurer bien fort pour obtenir satisfaction ».Ce passage me rassure ! malgrĂ© les pleurs que je nâarrivais pas Ă consoler, ils nâĂ©taient pas vains mes tu va voir, tu vas bien tâamuser, tu vas faire plein de choses », Papa doit travailler mais ce soir nous aurons plein de temps pour jouer et se faire des cĂąlins » ou âne soit pas triste mon poussin tu vas passer une super semaine avec maman et dans 6 dodos tu reviensâ. Pour LĂ©o, JâespĂšre sincĂšrement que, comme le disent les auteurs, mes paroles lui fournissent des munitions » pour combattre sa tristesse. Et mĂȘme si je sais que son chagrin ne dure jamais bien longtemps, quel dĂ©chirement sur le moment !Lâarticle se termine par ces mots Faire place Ă tous ces sentiments, accepter quâils sâexpriment avec violence quand les mots manquent pour les exprimer autrement, y rĂ©pondre doucement en prenant tout son temps, sont autant de façon dâaccompagner notre enfant sur le chemin qui est le sien. Il nâattend que notre confiance pour sâĂ©lancer ».On en revient au concept de savoir accueillir les Ă©motions » de ses enfants accepter quâils soient tristes leur montrer que nous comprenons cette tristesse. Notre force et notre confiance en eux dans ces moments lĂ les aiderons Ă mieux vivre les prochaines article est trĂšs intĂ©ressantâŠmais un peu court je reste sur ma faim. Jâaimerais vraiment trouver dâautres pistes qui permettent dâapaiser ces gros chagrins au moment de la sĂ©paration ».Et vous vous avez des trucs, des astuces, des conseils ? Au fait, cet article est notre contribution de la semaine aux Vendredis Intellos de Mme DĂ©jantĂ©e. Les commentaires sont la bas !
AprĂšs des mois je brise mon silence sur ce pontificat et sur l'Eglise; sur le Synode non plus je n'ai pas prononcĂ© un mot. Je le brise et aprĂšs je le rĂ©tablis, me taisant Ă nouveau. J'ai mes raisons. Samedi matin, Ă 7 heures, j'ai en effet Ă©crit sur ma page Facebook Je me suis levĂ©, dĂ©cidĂ© Ă faire une chose.. Je suis anticlĂ©rical, d'accord. J'ai peut-ĂȘtre du mĂ©pris pour le clergĂ©, je critique le clergĂ© tout en admirant les petits prĂȘtres qui font ce qu'ils peuvent, j'aime leur innocence. Mais je les critique. Pourvu que je sois le seul Ă le faire lorsque les autres le font... je ne le supporte pas, surtout s'ils sont des ennemis de l'Ăglise. DĂ©jĂ quand j'Ă©tais au PDS et que c'Ă©taient les camarades qui critiquaient les prĂȘtres, je m'insurgeais moi je pouvais, eux non. Car - je l'ai enfin dĂ©couvert - je reste leur ami. Et, comme Ă des amis, je leur veux du bien. Dieu sait s'ils ont besoin d'amis sincĂšres en ces temps oĂč ils semblent ĂȘtre restĂ©s vraiment seuls des amis pour les encourager dans leur ministĂšre, et pas pour flatter leur laxisme avec la condescendance d'une Ăąme corrompue. Et donc je me suis levĂ© ce matin-lĂ dĂ©cidĂ© Ă faire ce que je ne fais pas depuis des mois, et publiquement Ă l'exception de quelques sortie sur fb, pour quelques Ă©lus Ă©crire un article. Sur le pape, carrĂ©ment. N'a-t-il pas pour la Ă©niĂšme fois dĂ©masquĂ© les prĂȘtres? Eh bien, Ă mon petit niveau, je vais le lui faire payer, car ils sont mes amis. Lui, d'aprĂšs ce que je sais, il n'en a pas beaucoup, d'amis prĂȘtres; il s'est fait seulement des ennemis prĂȘtres. Il est le Pape, je le reconnais en tant que Pierre, on ne se sĂ©pare pas de Pierre Ă moins de tomber dans les griffes de Lucifer; on peut et on doit toutefois critiquer Pierre s'il semble se dĂ©tacher de Pierre, pour n'ĂȘtre que Simon.âŠÂ». CALIGULA Ce devait ĂȘtre fin octobre, Ă midi. Cour des miracles et foire aux vanitĂ©s de Sainte Marthe. Le Pape Bergoglio, gros mangeur, entre au restaurant avec sa cohorte d'arrivistes clĂ©ricaux, Ă demi apostats afin de mieux grimper sans le fardeau de la foi sur les Ă©paules. Il avance tumultueux et impĂ©rieux. Soudain il ralentit et jette son regard sur un pauvre petit prĂȘtre en soutane, qui prend son repas assis Ă une table. Il le passe au scanner de ce regard froid que ceux qui lui sont proches mais pas intimes connaissent, lorsque les camĂ©ras s'Ă©teignent, et puis d'un coup, poursuivant sa marche, et se tournant vers un des prĂ©toriens il ordonne Ce prĂȘtre-lĂ ne me plaĂźt pas! Que je ne le voie plus ici». Caligula. Qui n'ayant pas cette fois de cheval Ă gratifier du titre de consul cf. , se contente de priver l'anonyme petit prĂȘtre de son avoine. Ce qui est curieux, ou triste plutĂŽt, c'est que - en ce lieu oĂč mĂȘme le pape se balade en civil, Ă ce qu'on dit - ce pauvre petit prĂȘtre en soutane qui mangeait son plat de pĂątes, il ne savait mĂȘme pas qui c'Ă©tait. Ce devait certainement ĂȘtre un saint. Quelque chose s'est retournĂ© dans l'estomac de Bergoglio. Qu'est-ce qui se passe? Des choses comme ça, qu'il s'agisse de prĂȘtres ou d'Ă©vĂȘques, il en arrive tous les jours Ă Sainte Marthe; je connais des Ă©vĂȘques qui sont sortis en larmes de la suite impĂ©riale, et pas par Ă©motion. En ces jours oĂč je dois prendre et peut-ĂȘtre oĂč j'ai pris une dĂ©cision difficile Ă ce sujet, je pense Ă une remarque de Sainte Catherine de Sienne. Lorsqu'on parlait de comment il fallait rĂ©agir face Ă un pape difficile Ă suivre, et pas par la faute des fidĂšles, mais du pape lui-mĂȘme, elle rĂ©pondait Ă son confesseur il y a des choses que nous pouvons dire du pape, et d'autres que nous ne pouvons pas dire car il est le pape lĂ©gitime ce qui Ă©tait par ailleurs difficile Ă Ă©tablir en ces temps avignonnais, mais si nous ne pouvons pas parler nous pouvons prier». Une leçon qu'aussi le pape Bergoglio devrait apprendre pour lui-mĂȘme il parle trop et - il l'admet lui-mĂȘme - il ne lui reste pas beaucoup de temps pour prier, et quand il le fait il s'endort facilement. Qu'il essaye de le faire Ă genoux, il resterait peut-ĂȘtre Ă©veillĂ©. Luttez, luttez!» a-t-il dit aux anarcho-communistes des centres sociaux, faites du bruit, rebellez-vous, critiquez», a-t-il dit aux paisibles jeunes catholiques dans l'Ă©glise salĂ©sienne de Termini Ă Rome. Les critiques font du bien», a-t-il Ă Mario Palmaro, que Dieu ait son Ăąme. Lui-mĂȘme, quand il venait Ă Rome comme cardinal, il se faisait raconter tous les ragots du Palais», et nous savons Ă prĂ©sent que ce n'Ă©tait pas que de la curiositĂ©. Il voudra bien nous excuser, alors, le Pape Bergoglio si nous aussi, nous nous joignons au bavardage» qu'il blĂąme tout en bavardant, et que lui-mĂȘme dĂ©clenche, bien entendu. Comme l'a admis le cardinal Burke, il le fait exprĂšs, et ensuite il reste les bras croisĂ©s Ă jouir du spectacle des diatribes qu'il a dĂ©clenchĂ©es le lendemain avec des choses contredisant ce que par hasard» il avait dĂ©clarĂ© la veille. Ce n'est pas que du divertissement c'est un usage scientifique du bavardage. Je vous dirai un jour pourquoi il le fait. ... IL N'AIME PAS LES PRĂTRES... SURTOUT S'ILS SONT ITALIENS - Nous le savons Il n'aime pas l'Eglise catholique comme elle est et comme elle Ă©tait, il n'aime pas Rome, il n'aime pas nos coutumes, il dĂ©teste nos compatriotes Ă©vĂȘques, il n'aime pas les religieuses cloĂźtrĂ©es il a donc donnĂ© l'ordre de dĂ©manteler progressivement la clĂŽture, il n'aime pas les trop dĂ©vots, il n'aime pas le catholicisme identitaire, il n'aime pas les messes en latin, il n'aime pas les luttes-marches-rosaires pro-life; pratiquement, il n'aime pas les catholiques. Il n'aime rien de rien sauf les extravagantes, superficielles idĂ©es libĂ©ral-pentecĂŽtistes qu'il a dans la tĂȘte et qui ont dĂ©jĂ prouvĂ© ĂȘtre en faillite; il aime le sentimentalisme, dans le sens proprement latino-amĂ©ricain, c'est Ă dire pas les sentiments mais leur reprĂ©sentation emphatique et théùtrale. Dans d'autres contextes on parlerait d'hypocrisie, si on ne savait pas que les sentimentalismes cachent des nerfs faibles plutĂŽt qu'un bon cĆur. Mais surtout il n'aime pas les prĂȘtres le prĂȘtre classique. Grandes accolades et bon ramadan aux imams, visites pastorales aux pasteurs Ă©vangĂ©liques, baisers aux mains des rabbins, mais pour les prĂȘtres catholiques que des coups de pieds dans les dents. Tous les matins! Et maintenant il les chasse mĂȘme du restaurant de Sainte Marthe. Mamma mia, comme il les arrange chaque jour dĂšs que le soleil se lĂšve, dans ce qu'on fait passer pour des prĂȘches et qui ne semblent parfois ĂȘtre que de la diffamation quotidienne, scientifique, systĂ©matique des prĂȘtres qu'il devrait comme pontife encourager et protĂ©ger! Il les tiraille, les insulte, il se moque d'eux et les ridiculise devant tout le monde, les traite parfois de pĂ©dophiles», de serviteurs idiots, de paillassons. Il ne s'est inclinĂ© que devant deux prĂȘtres, leur baisant littĂ©ralement mains et pieds Ă cet entrepreneur du politiquement correct de gauche qu'est don Ciotti, et Ă un autre vieux prĂȘtre de 90 ans connu pour son homosexualisme et pour avoir Ă©tĂ© le mĂ©gaphone de toutes les modes idĂ©ologico-clĂ©ricales du moment, du communisme au gender. Un prĂȘtre de GĂȘnes m'Ă©crit On m'a appris que coram populo on dĂ©fend toujours et en toute occasion sa propre famille, son entreprise, ses collaborateurs, ses subordonnĂ©s, etc. AprĂšs, dans le lieu appropriĂ©, on lave le linge sale, on le dĂ©sinfecte mĂȘme. Mais on ne sabote pas l'institution dont on est le chef». L'USINE DES NON-NOUVELLES SAINTE MARTHE L'autre matin, Ă nouveau. Il est montĂ© sur le piĂ©destal des vanitĂ©s Ă Sainte Marthe, et oubliant qu'il est lui-mĂȘme un prĂȘtre comme tous les autres il a osĂ©, et affirmĂ©, entre autres Nous savons ce que dit JĂ©sus Ă ceux qui sont cause de scandale "Il vaut mieux ĂȘtre jetĂ©s Ă la mer"». Et donc les journaux de titrer littĂ©ralement Le Pape que les prĂȘtres se jettent Ă la mer". Il parle tout le temps d'argent il en est obsĂ©dĂ©. A part le fait que JĂ©sus n'a dit Ă personne de jeter quelqu'un Ă la mer, mais qu'il s'y jette par lui-mĂȘme, de quoi parle-t-il au juste? OĂč ces choses se passent-elles? Je ne les ai vues nulle part, et Dieu sait je m'y connais en Eglise, et si je ne fustige souvent et volontiers tout ce qui est dĂ©nonçable elles n'existent pas. Bergoglio parcourt les journaux tous les jours, il lit de façon maniaque toutes les nouvelles qui le concernent, puis il souligne les articles, souvent des journaux anticlĂ©ricaux, ceux qui montent des canulars sur les prĂȘtres, ou au moins dĂ©forment ou exagĂšrent les histoires les concernant. Il les mĂ©morise, les remanie, et ensuite les utilise Ă des fins qui lui sont bien connues, et Ă moi aussi dĂ©sormais. En faisant d'une non-nouvelle une donnĂ©e collective, d'une rĂ©alitĂ© artificielle et hypothĂ©tique un Ă©vĂ©nement incontestable, endĂ©mique. C'est la dĂ©-rĂ©alitĂ© d'un pontificat qui se joue tout entier sur les effets spĂ©ciaux et les jeux de miroirs mĂ©diatiques. Un festival des pires lieux communs de bar, projetĂ© sur celui de Sainte Marthe. Des non-nouvelles jetĂ©es comme des pierres sur les consacrĂ©s, qui une fois dispersĂ©es, ne laissent qu'un grand vide, vide comme cette sacoche qu'y avait-il dedans? Rien, que des vieux papiers que Bergoglio amenait sur les avions dans les voyages papaux. A quoi lui servait-elle, cette serviette vide? A paraĂźtre, simuler, crĂ©er artificiellement une rumeur, ajouter une brique au monument, une ciselure au veau d'or, afin de se reprĂ©senter mĂ©diatiquement lui-mĂȘme. Et l'Eglise qui vit dans son imagination post-catholique, qu'il entend bien concrĂ©tiser, au travers des mĂ©dias. On crĂ©e artificiellement et on met de cĂŽtĂ©, pour quand le moment qu'il a dans sa tĂȘte sera arrivĂ©. Mais Dieu avait d'autres projets», est-il Ă©crit dans les prĂ©sumĂ©e prophĂ©ties d'Anne Catherine Emmerick. JORGE MARIO LUTHER LA NOUVELLE "VENTE DES INDULGENCES" - Dans le mĂȘme article tirĂ© de l'homĂ©lie», je lis C'est un scandale lorsque le Temple, la maison de Dieu, devient une maison d'affaires, comme ce mariage on loue l'Ă©glise». Il est curieux que celui qui parle est le mĂȘme qui, il y a quelques semaines, sans demander Ă personne, motu proprio, a louĂ© rien de moins que la Chapelle Sixtine, qui est l'Eglise des Ă©glises, Ă Porche, l'entreprise d'automobiles afin qu'elle y tourne ses publicitĂ©s commerciales. Je voudrais une Ă©glise plus pauvre», affirma-t-il au dĂ©but du pontificat comme d'habitude les bons sentiments c'est Ă dire les dĂ©magogies crypto-marxistes favorisent toujours les bonnes affaires. Comme ils le savent bien, ces derniers temps, Ă l'IOR et au Vatican, devenu le paradis des lobbies financiers Ă©trangers - de cette petite banque pour les prĂȘtres qu'elle Ă©tait - grĂące Ă Bergoglio et aux amis Ă qui il doit son Ă©lection. Ils ont transformĂ© la maison de priĂšre en un repaire de voleurs», disait-il avant-hier, donc. Les prĂȘtres toujours, c'est de leur faute paroles de quelqu'un qui n'a jamais Ă©tĂ© curĂ©, prĂ©fĂ©rant faire le caudillo des autres jĂ©suites argentins, par qui il fut finalement Ă©loignĂ©, aprĂšs les dĂ©sastres et la rĂ©bellion gĂ©nĂ©rale qu'il avait suscitĂ©s, avec ses mĂ©thodes brutales mĂȘlĂ©es de superficialitĂ©. Et il ajoute Combien de fois voyons-nous, en entrant dans une Ă©glise, encore aujourd'hui, qu'il y a la liste des tarifs». A quoi se rĂ©fĂšre-t-il prĂ©cisĂ©ment? Il ne parle de personne, ce qui est pire, il ne fait rĂ©fĂ©rence Ă aucun Ă©vĂ©nement il s'empare et surfe sur un buzz mĂ©diatique, un lieu commun laĂŻciste, une lĂ©gende urbaine et se renforce avec l'onde mĂ©diatique de retour. A quoi lui sert toute cette force qu'il aspire hors des choses, les laissant progressivement inanimĂ©es? Moi je le sais, je l'ai compris, mais je ne le dirai pas ici. D'oĂč a-t-il sorti ces choses? C'est clair, des journaux reportant le demi-canular et la demi-blague d'un curĂ©, un non-Ă©vĂ©nement qui s'est passĂ© en Lucanie. Ce n'est pas que les prĂȘtres vĂ©naux n'existent pas des voleurs il y en a et il y en aura toujours partout et dans toutes les catĂ©gories derniĂšrement, en Toscane, un prĂȘtre a demandĂ© 800 euros pour cĂ©lĂ©brer un mariage, dans sa belle Ă©glise. Il n'avait pas affichĂ© les prix, pour pouvoir empocher illĂ©galement les sous. En douce. Comme le font les escrocs. Mais peut-on faire d'un seul cas une affaire collective? Faudrait-il dire que, puisque le pape a promu dans sa cour un monseigneur dont l'unique gloire de son CV est ses coucheries, certifiĂ©es par la police lorsqu'il fut tabassĂ© dans une sordide boĂźte gay, faudrait-il donc dire que le pape soutient la prostitution masculine? Ou bien, puisqu'il a appelĂ© Ă Rome un prĂȘtre espagnol non seulement ultra-progressiste mais aussi pornocrate - s'en vantant dans les journaux - devrions nous dire que tous au Vatican, Ă commencer par le pape, sont des vicieux? Il faut dire que les prĂȘtres voleurs, lorsqu'il y en a, sont tous affiliĂ©s dans les rangs les plus libĂ©raux et progressistes du clergĂ©, c'est Ă dire les plus grands sponsors du pape Bergoglio et de son culte. Dans ma vie, et pendant longtemps, j'ai Ă©tĂ© le genre d'enfant de chĆur Ă contrĂŽler de prĂšs la paroisse et le curĂ©, j'ai vu des curĂ©s comme le mien qui disait aux mariĂ©s les dĂ©penses pour le mariage sont de 50 mille lires 25âŹ, mais si vous ne les avez pas, ça ne fait rien». Un jour il Ă©crivit sur le tronc Ă offrandes celui qui en a, qu'il en mette, celui qui n'en a pas, qu'il en prenne». C'Ă©tait un prĂȘtre fervent, marial, et conservateur en matiĂšre de mĆurs. Un prĂȘtre catholique comme la plupart, la majoritĂ© des bons prĂȘtres. Mais que lui importe, Ă Bergoglio, qui dĂ©clare haĂŻr toute idĂ©ologie, confondant mĂȘme celle-ci avec la Doctrine, et montrant par-lĂ que le premier Ă ĂȘtre idĂ©ologisĂ©, c'est lui? Je lis et relis cette phrase centrale d'un texte qui avant d'ĂȘtre de la grande littĂ©rature est la prophĂ©tie d'un gĂ©ant intellectuel, Soloviev, Le rĂ©cit de l'AntĂ©christ Il croyait en Dieu, mais au fond de son cĆur il prĂ©fĂ©rait lui-mĂȘme». IMAGINER DES LISTES DES TARIFS EN ITALIE, NE PAS VOIR LA SIMONIE EN ALLEMAGNE L'ancien archevĂȘque de Buenos Aires, diocĂšse ruinĂ© prĂ©cisĂ©ment par Bergoglio, poursuit Lorsque ceux qui sont dans le Temple - qu'ils soient prĂȘtres, laĂŻcs, secrĂ©taires, mais qui doivent gĂ©rer dans le Temple la pastorale du Temple - lorsqu'ils deviennent des affairistes, le peuple en est scandalisĂ©. Nous en sommes responsables. Les laĂŻques aussi, eh, tous. Car si je vois que dans ma paroisse on fait cela, je dois avoir le courage de le dire en face au curĂ©. Les gens souffrent du scandale. C'est curieux le peuple de Dieu sait pardonner Ă ses prĂȘtres quand ils ont une faiblesse, quand ils glissent dans le pĂ©chĂ©... il sait pardonner». Avez-vous compris le message codĂ©? Que les prĂȘtres ne s'obstinent pas avec les "sacrements", qu'ils soient condescendants comme les laĂŻcs le sont avec eux, et avec eux-mĂȘmes. Est-ce que ça se comprend ou pas qu'il vise le chien pour toucher le maĂźtre parla a nuora perchĂ© suocera intenda? Et qu'il n'arrive pas Ă avaler la pilule amĂšre du synode? Il ne manquait plus que cela maintenant les prĂȘtres, sans pitiĂ©, qui ne pardonnent pas», et les laĂŻcs, les pauvres, qui non seulement sont appelĂ©s Ă les juger, mais aussi Ă les pardonner magnanimement. Des bavardages qui n'ont rien Ă voir avec la rĂ©alitĂ©. Pensons que c'est le mĂȘme pape qui, depuis qu'il a momentanĂ©ment perdu la partie du synode, ne se console pas et apaise son courroux cherchant des tĂȘtes Ă couper ... C'est le mĂȘme pape Ă©lu par les cardinaux progressistes allemands, qu'il instrumentalise tout en se laissant instrumentaliser par eux qui ont fait du dieu Mammon et de la simonie leur principale divinitĂ© et leur unique sacrement Ă©glise parmi les plus riches et progressistes du monde, l'allemande, avec des millier de fonctionnaires et des prĂȘtres qui gagnent jusqu'Ă 4 mille euros par mois et qui ont osĂ© l'inosable?. Comme je l'ai dĂ©jĂ Ă©crit, l'ami Antonio Socci, lui aussi l'a rĂ©pĂ©tĂ© hier dans sa page FB Argent et sacrements? Cher pape Bergoglio, veuillez contester les choquantes dĂ©cisions des Ă©vĂȘques allemands comme le fit Ratzinger au lieu de dĂ©nigrer nos curĂ©s. Celles-lĂ sont la vraie honte! ... JE VAIS LE LUI DIRE, A BERGOGLIO!» Ce n'est pas un hasard si, durant le synode, dans la salle, aprĂšs la publication de la vidĂ©o oĂč Kasper, en bon allemand, manifestait tout son mĂ©pris racial Ă l'Ă©gard des Ă©vĂȘques africains opposĂ©s Ă ses thĂšses, qui Ă©taient aussi celles de Bergoglio, et dont il avait niĂ© l'existence loi du contrapasso [cf. "La Divine ComĂ©die", principe selon lequel les peines infligĂ©es sont une analogie ou un miroir des pĂ©chĂ©s commis] on affirme qu'au temps du Motu Proprio ce fut lui qui fit circuler la vidĂ©o de Mgr Williamson, il a piquĂ© sa crise. En rĂ©sumĂ©, pendant que le cardinal Burke discute dans un groupe ndt fa capannello » jolie expression qui montre un petit groupe de personnes debout et en cercle, discutant entre eux et formant ainsi comme une petite cabane, mais il n'y a rien de semblable en français avec d'autres confrĂšres, passe le cardinal Kasper qui, furieux, s'immisce entre eux, pointe un doigt sur son confrĂšre Burke et l'apostrophe C'Ă©tait vous n'est-ce pas qui avez fait circuler cette vidĂ©o?!». Burke se retourne et glacial lui rĂ©pond Eminence, c'est vous qui avez donnĂ© l'interview». A ce moment-lĂ la fureur de Kasper a explosĂ© et on le sait, de mĂȘme que in vino veritas, dans les accĂšs de fureur aussi, on laisse Ă©chapper la vĂ©ritĂ©, pour infantile qu'elle soit Vous allez voir! Vous allez le payer! Je vais le dire Ă Bergoglio!». Il dit Ă Bergoglio», lui, mĂȘme pas au Saint pĂšre» Ă Bergoglio». C'est comme dire Ă mon ami Ă moi», il est un des nĂŽtres cosa nostra. Tout est Ă eux, mĂȘme l'Eglise semble devenue un bien immobilier de leur propriĂ©tĂ©, comme les sacrements, la vĂ©ritĂ© elle est Ă eux et ils en disposent Ă leur grĂ©. Surtout en Allemagne, contre paiement. En effet, quelques jours plus tard, Bergoglio appelle Burke et lui confirme Vous changez d'Office!». TerminĂ©. JUDAS, LE MORALISTE VOLEUR Il Foglio, encore lui, Ă©crit François a donc expliquĂ© pourquoi JĂ©sus en veut Ă l'argent "Car la rĂ©demption est gratuite"; Il vient nous apporter la gratuitĂ© de Dieu, la gratuitĂ© totale de l'amour de Dieu. Quand l'Eglise ou les Ă©glises deviennent affairistes, on dit que, âŠeh⊠il n'est pas si gratuit le salut⊠VoilĂ pourquoi JĂ©sus prend le fouet pour faire ce rite de purification dans le Temple». A part le fait que les raisons profondes de la raclĂ©e» au Temple Ă©taient bien autres que cela; Ă part le fait que JĂ©sus n'en voulait pas du tout Ă l'argent Ă©tant lui-mĂȘme aisĂ© et avec des amis tous riches, et aisĂ©s Ă©taient les apĂŽtres qu'il se choisit, Ă part tout cela, qu'on rappelle Ă Bergoglio que JĂ©sus ordonna aux apĂŽtres de tenir une caisse, pour leur propre subsistance et pour soutenir la cause». Certes, c'est vrai, le caissier Ă©tait un voleur. Judas. Un voleur qui, comme les progressistes d'aujourd'hui, prĂȘchait bien et pratiquait mal il se plaignait lorsqu'on gaspillait» les huiles prĂ©cieuses pour essuyer les pieds de JĂ©sus, alors qu'on aurait pu les vendre et donner aux pauvres le bĂ©nĂ©fice», comme Bergoglio lâa dit aussi une fois Ă propos des Ă©glises. Mais Jean raconte et explique Ainsi disait l'Iscariote. Non pas parce qu'il Ă©tait bon, mais parce que il Ă©tait voleur et s'appropriait du contenu de la caisse des apĂŽtres». Pouvons-nous affirmer que tous les apĂŽtres Ă©taient des voleurs», comme le pape le fait comprendre des prĂȘtres, parce que le caissier Judas l'Ă©tait? Judas Ă©tait un moraliste, et comme avec tous les moralistes son iniquitĂ© fut dĂ©couverte Ă la fin. Qu'il rĂ©flĂ©chisse plutĂŽt Ă cela, Bergoglio. CE N'EST PAS CE QUI EST VRAI, QUI LUI IMPORTE, MAIS CE QUI LUI SERT Ce matin, un excellent, doux et pieux prĂȘtre sicilien don Giovanni Salvia Ă©crit, montrant ses griffes pour un moment, avec toutes les bonnes raisons du monde A François, l'homme vĂȘtu de blanc, avec tout mon respect, je demande avez-vous jamais Ă©tĂ© curĂ©? Qui paye l'Ă©lectricitĂ© de l'Ă©glise, le chauffage, les frais ordinaires et extraordinaires, les activitĂ©s pastorales, le mobilier de l'Ă©glise arredi sacri, ce n'est pas que le mobilier, la restauration des Ćuvres d'art, l'organiste, les collaborateurs? Le Code de Droit canonique n'affirme-t-il pas comme un devoir des fidĂšles de subvenir aux nĂ©cessitĂ©s de l'Eglise? Aujourd'hui, grĂące Ă la collecte des fidĂšles j'ai pu faire une offrande aux missionnaires engagĂ©s en Albanie en faveur des enfants adoptĂ©s. Les journĂ©es de collecte que le Pape nous demande de faire pour recueillir de l'argent, comme la JournĂ©e Mondiale Missionnaire, et celle de la charitĂ© le 29 juin, ne parlons pas de toutes le journĂ©es en faveur de l'Eglise diocĂ©saine, pour le journal l'Osservatore Romano, l'Avvenire des EvĂȘques italiens, le journal diocĂ©sain, pour le SĂ©minaire, la journĂ©e pour les Ă©migrants, pour les catastrophes naturelles, et je pourrais continuer la liste - de qui pouvons-nous prendre l'argent pour gĂ©rer une activitĂ© administrative ordonnĂ©e comme nous le commande le Code de droit Canonique ? Peut-ĂȘtre, et c'est ma faute, que je n'ai pas bien compris son message». Tu as trĂšs bien compris, mais Ă Bergoglio peu lui importe la vĂ©ritĂ© des choses, comme de la thĂ©ologie il n'existe que ce qui lui sert. Et ce qui lui sert, sert aussi aux mĂ©dias, afin d'alimenter artificiellement l'effet Bergoglio» qui n'existe que comme une Ă©quivoque, calculĂ© lui aussi. Car cet effet sert Ă Bergoglio. Et il lui sert pour un dessein qu'il a bien clair en tĂȘte et qu'il ne va pas tarder Ă nous montrer. Qu'importe des difficultĂ©s quotidiennes du petit curĂ© de pĂ©riphĂ©rie, il ne lui sert» pas de le savoir, et s'il le sait, cela lui est Ă©gal. Ce qui compte est l'effet», l'aspect mĂ©diatique de ses gestes, mots, pensĂ©es, aussi apparemment superficiels et sans grammaire thĂ©ologique qu'il soient. Tout, en son temps, va lui servir il sĂšme et sĂ©dimente effet» sur effet», lui il saura, aprĂšs, quand le moment sera venu de la rĂ©colte» sur les couches gĂ©ologiques des effets». Froid et dĂ©terminĂ©, il vise ce but, mystĂ©rieux au plus grand nombre. DES PRĂTRES DĂSORIENTĂS... PAR CELUI QUI DEVRAIT LES GUIDER. DĂ©sormais, c'est comme une course entre Renzi et Bergoglio», affirme quelqu'un. Mais Bergoglio n'est pas Renzi. A paritĂ© de confusion, alors que celle de Renzi est rĂ©elle, celle de Bergoglio n'est qu'apparente il a trĂšs clair dans la tĂȘte ce qu'il veut faire et, quoi qu'il arrive, il y parviendra, le monde dĂ»t-il s'effondrer. Mais Dieu avait d'autres projets» disions-nous il y a un instant. Ce n'est pas de la fumĂ©e quelconque qu'il dĂ©verse chaque jour, c'est de l'opium. Les prĂȘtres, pauvres cibles quotidiennes de Bergoglio pas ceux Ă la page, Ă la mode modaioli, conformistes et souvent pleins d'argent. PlutĂŽt les simples petits prĂȘtres qui essayent comme ils le peuvent de rester fidĂšles Ă la mission confiĂ©e par l'Eglise, lorsqu'elle en avait une. En son absence ils s'accrochent au catĂ©chisme et Ă l'Evangile. Un de ceux Ă qui un Ă©vĂȘque de Toscane, lorsqu'il le vit il y a quelques mois, dĂ©clara, alors qu'il devait en ĂȘtre pĂšre Lorsque les prĂȘtres comme vous auront disparu ou auront Ă©tĂ© Ă©radiquĂ©s de l'Ăglise, nous aurons rĂ©solu 50% de nos problĂšmes». Que le Seigneur vous bĂ©nisse, Excellence, bien que vous refusiez d'ĂȘtre un pĂšre pour moi». Il avait osĂ© se mettre en soutane, le petit prĂȘtre. L'Ă©vĂȘque, c'Ă©tait un de ceux qui Ă©taient devenus prĂȘtres dans les annĂ©es folles oĂč Bergoglio lui-mĂȘme le devint, lui qui aurait voulu partir au BrĂ©sil, pour les JMJ, en clergyman on le raconte, mais je ne sais pas si c'est vrai s'il n'y avait pas eu le cardinal Sodano qui lui remit de force la soutane. Il se contenta du sac vide. Un laĂŻc anonyme», protecteur de tant de prĂȘtres en difficultĂ©, vrai mĂ©cĂšne des Ăąmes consacrĂ©es, leur redonnant du courage pour faire face au ministĂšre, malgrĂ© le vent contraire qui veut les plier, me disait que ceux qui se remettent Ă son aide ont augmentĂ© exponentiellement ces dernier mois des prĂȘtres dĂ©sorientĂ©s, dĂ©motivĂ©s, frustrĂ©s par celui qui justement devrait les encourager et soutenir. Une amie trĂšs catholique conseillait d'accepter l'Ă©preuve Ă laquelle, avec ce Pape, le Seigneur nous soumet». Je constate moi-mĂȘme chaque jour cette confusion, chez les jeunes prĂȘtres qui m'Ă©crivent. Un parmi eux, consacrĂ© depuis peu Ă Milan, m'Ă©crit Je n'arrive plus Ă prononcer pendant la messe les mots "en union avec notre pape François"». Il m'a fait de la peine, et je lui ai conseillĂ© un compromis Tu n'as qu'Ă dire "en union avec notre pape François, et BenoĂźt"». Tant il est vrai que dĂ©sormais, dans la messe, chacun dit ce qu'il veut. MĂȘme problĂšme avec un autre Ă qui j'ai conseillĂ© d'opter pour un gĂ©nĂ©rique en union avec Pierre». Je sais bien comme il est dangereux de s'Ă©loigner de cet ancre de sauvetage qu'est Pierre, le pape, quel qu'il soit le dĂ©mon utilise les mauvais papes juste dans le but d'Ă©loigner les fidĂšles et les prĂȘtres de Rome. Aujourd'hui, il n'est qu'Ă un pas⊠IL N'ĂTAIT PAS UN VICAIRE, IL ĂTAIT LUI-MĂME» Je parcours mes messages Facebook et me rends compte que quelque chose Ă©tait dans l'air depuis un moment aprĂšs que la morositĂ© ait gagnĂ© un tiers du noyau dur du SacrĂ© CollĂšge, aprĂšs qu'il se soit aliĂ©nĂ© progressivement la sympathie de moitiĂ© de l'Ă©piscopat, la capacitĂ© de tolĂ©rer les folies de Bergoglio est arrivĂ©e Ă sa limite mĂȘme parmi le menu clergĂ©. De plus en plus rarement je rencontre un prĂȘtre qui en dise du bien, humiliĂ© et dĂ©sorientĂ© qu'il est par ses jeux mĂ©diatiques. Je prends au hasard le message d'un prĂȘtre, que j'aime car il est d'un fond innocent, surtout il est pur dans son cĆur. Je me souviens quand il m'Ă©crivait, tout tremblant, avançant quelques doutes Ă propos du nouveau pape. Des doutes qui au fur et Ă mesure ont Ă©tĂ© remplacĂ©es par des certitudes que je lui avais alors annoncĂ©es, connaissant moi-mĂȘme Bergoglio depuis des annĂ©es. Aujourd'hui il m'Ă©crit donc Je n'arrĂȘte pas de rire Ă cause des imprĂ©cations que j'ai entendues par un de mes chers confrĂšres Ă l'encontre du romain pontife. Quelqu'un comme lui! Tu penses qu'au sĂ©minaire jamais un gros mot! Il Ă©tait comme la rĂ©incarnation du curĂ© d'Ars. Eh bien ce soir je l'appelle pour sentir les humeurs aprĂšs la derniĂšre sottise de Bergoglio sur les tarifs Ă l'Ă©glise. Et lui, au tĂ©lĂ©phone, il commence par l'envoyer promener, me donnant aussi les raisons de sa juste colĂšre. Il est, dans la banlieue de Milan, contraint de se serrer la ceinture, entre l'emprunt, les factures et le je-m'en-foutisme des gens, et il s'entend taquiner par une andouille de paroissien Ă propos "des tarifs" dont parle Bergoglio, alors il est entrĂ© dans une colĂšre noire. Peut-ĂȘtre qu'en mentionnant l'argent le pape a vraiment fait mouche. Maintenant, il est indĂ©fendable aux yeux de la majoritĂ© des prĂȘtres. Mais quelle tristesse! A quel niveau sommes-nous descendus!». Je me suis en effet Ă©tonnĂ© de l'Ă©vident enhardissement de ce jeune prĂȘtre dont j'ai toujours admirĂ© la dĂ©licatesse, l'innocence justement. De toute façon Bergoglio est un religieux! Il parle.. il parle de l'argent car comme tous les religieux il recourait Ă la caisse commune. Il est un utopiste. Vive les prĂȘtres qui ont vraiment l'habitude de partager la vie des brebis, mĂȘme en trafiquant avec 'le crottin du dĂ©mon' l'argent Ce qui malgrĂ© tout nous garde avec les pieds bien au sol ». C'est l'Ă©cole de Giussani fondateur de Communion et LibĂ©ration qui, pour sa chance, est mort catholique, ayant trĂ©passĂ© il y a une dĂ©cennie. - Au printemps, je rencontrai un jeune prĂȘtre qui avait vu le pape il m'en fit voir la photo. Bon, alors, lui demandais-je, comment l'as-tu trouvĂ©, Bergoglio, de prĂšs? Je sais que tu es un 'sensitif'». J'ai vu BenoĂźt XVI de prĂšs, et lui ai parlĂ© toujours j'ai eu l'impression d'un homme qui te pĂ©nĂ©trait avec son regard, te comprenait, t'acceptait et t'aimait quel que tu sois; mĂȘme aprĂšs une journĂ©e de dĂ©placements et de rencontres, il Ă©tait toujours disponible Ă accueillir. En cette minute oĂč j'ai Ă©tĂ© avec François, par contre, il ne m'a posĂ© que les questions rituelles comment t'appelles-tu d'oĂč viens-tu que est-ce que tu Ă©tudies oĂč fais-tu la pastorale. J'ai rĂ©pondu mais je comprenais qu'il s'en fichait. Quand je lui ai dit que pour la pastorale j'allais chez les clochards de Rome Ă Termini, tu sais ce qu'il m'a dit? Bon, merci, prie pour moi, au revoir». Il ne m'Ă©coutait mĂȘme pas. Je lui ai dit qu'ils le saluaient, qu'ils l'attendaient. Rien si je lui avais dit qu'au lieu de faire la pastorale j'allais avec les prostituĂ©es ç'aurait Ă©tĂ© la mĂȘme-chose. Froid, de cette froideur de l'homme supĂ©rieur qui ne t'Ă©coute mĂȘme pas non ti si fila, car qui que tu sois, tu seras toujours infĂ©rieur. Avec BenoĂźt c'Ă©tait toujours une surprise Tu Ă©tais devant lui et tu comprenais que la personne importante c'Ă©tait moi, c'Ă©tait toi! Un jour je m'approchais et lui dis SaintetĂ©, savez-vous que dans une semaine je deviens prĂȘtre? Il m'a regardĂ© Ă©mu, s'arrĂȘtant, et parmi tant de choses m'a dit FĂ©licitations, quand tu cĂ©lĂ©breras ta premiĂšre messe, Ă la fin, tu impartiras ma bĂ©nĂ©diction Ă tes proches et Ă tes amis ». J'insiste, sournois, mais alors en regardant François, qui as-tu vu?» Antonio, tu sais que je suis trĂšs sensitif. Quand je rencontre une personne, je ne dis pas que je suis comme Padre Pio, loin de moi cette idĂ©e, mais quand je la rencontre j'ai souvent la perception des pĂ©chĂ©s qu'elle a commis; cela m'arrive trĂšs souvent au confessionnal, mais Ă part cela je croyais t'avoir dĂ©jĂ rĂ©pondu ma perception a Ă©tĂ© de ne pas ĂȘtre en face du Vicaire du Christ, mais d'un homme ivre de soi, il n'Ă©tait pas un Vicaire, il Ă©tait lui-mĂȘme». Il est temps que la Curie commence Ă faire le travail qui lui rĂ©ussit le mieux neutraliser. Mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir. D'ailleurs l'invisibilitĂ© du SecrĂ©taire d'Etat Parolin en dit long sur le sentiment qui s'insinue et monte dans ces chambres mi- abandonnĂ©es. Cependant, un roi de la Curie, vieux renard de cardinal, dĂ©jĂ grand Ă©lecteur de Bergoglio, en discutant avec le cardinal Ruini, a lancĂ© sans prĂ©ciser en effet, pendant le conclave il y a eu des embrouilles». Que celui qui veut comprendre comprenne. Source
enceinte je ne supporte plus le papa